Plutôt que d’effectuer un test classique de ce jeu sorti il y a quelques semaines, j’avais envie de vous faire découvrir le jeu sous la forme d’un carnet de voyage. Je ferais un avis plus global sur mon aventure à la fin du jeu.

Attention : ce carnet contiendra sans aucun doute des spoilers

Le train est de nouveau attaqué à cause d’une attaque mais un événement imprévu survient : je ne peux plus invoquer mes armes. Il me reste comme dernière solution de fuir et de prendre la Régalia au fond du train.

L’armée impériale a décidé de faire sauter le pont et nous par la même occasion. S’ensuit une course poursuite en voiture où je dois éviter les obstacles mais aussi les obus que l’on me balance. Malheureusement; la Régalia finit par rendre l’âme et nous continuons à pieds. Là encore les ennuis s’enchaînent puisque je me retrouve seul et sans armes …

J’arrive à me trouver un abri. A ce moment précis, je me résous à prendre mes responsabilités de Roi et d’enfiler la bague donnée par LunaFreya avant de mourir. Cette bague m’offre le pouvoir de mort. En fait, je peux aspirer la vie de mon adversaire.

Je continue de m’infiltrer dans la ville et je finis par récupérer un deuxième pouvoir : celui d’envoyer mon ennemi dans une autre dimension. La contrepartie est sévère puisque je dois vider toute une barre de PM.

Je continue toujours à avancer en me débarrassant des différents ennemis et je tombe sur un pont où il y a la présence de cadavres et leurs armes à disposition. Mais logiquement je ne peux pas les prendre alors que je suis sans défense. Une petite incohérence scénaristique …

J’arrive enfin à l’endroit où je devais mais un colosse fracasse le pont où je me trouvais. A mon réveil, je retrouve Ravius … mort avec l’épée du Roi. Je la récupère. Je profite de ce moment de calme pour lire les différentes lettres écrites par Ravis à sa soeur.

Après des heures vraiment chiantes à déambuler dans les dédales, à appuyer sur des interrupteurs ou à casser du monstre, je retrouve enfin Ignis et Gladio. Je retrouve aussi Prompto quelques dédales plus loin dans une posture qui n’a pas dû être très agréable.

Prompto vient de m’avouer qu’il est de Niflheim donc de l’Empire ! Quel choc ! Mais peu importe son origine, il fais parti de mes sujets de Lucis ! Au passage, je détruis une machine qui me rends mes pouvoirs. Chouette !

Malheureusement l’accalmie ne dure pas longtemps puisqu’Ardyn m’envoie son nouveau jouet. Il s’agit de Ravius en mode démon. Le combat s’est révélé très compliqué et très long mais je finis par libérer Ravius de cette horreur. Il repose maintenant en paix. S’en suit une invasion de démons. Mes comparses me demande de les laisser et d’aller chercher le cristal. Je n’ai pas le choix ! J’espère ne pas regretter mon choix …

Je m’approche du cristal qui décide m’aspirer dans sa lumière mais Ardyn apparaît subitement pour m’annoncer un rebondissement. Ardyn était un futur roi élu du Lucis , il est donc de ma famille, mais pour sauver son futur peuple il décide de demander le pouvoir du cristal. Malheureusement tout ne se passe pas comme prévu et devient un démon immortel sous forme humaine et par la même occasion un paria du Lucis.

Je me retrouve donc à l’intérieur du cristal et une voix me parle : la voix du Bahamut. Il m’explique que je dois stocker la puissance de la lumière dans l’anneau afin de pouvoir terrasser Ardyn avec le pouvoir du roi légitime. Cela permettra d’illuminer la nouveau la planète seulement le prix à payer est difficile à admettre : ma vie en échange de celle de mon peuple.

Je reviens dans le vrai monde mais j’ai vieillit. Umbra m’attends pour me remettre un message de mes amis. Ils m’attendent à Hammerhead et c’est ici que se termine ce chapitre très long au début mais dont la fin est très intéressante dans l’avancée du scénario.